Plume en classe

Plumitzers d’octobre

Le chapitre 4 de « Le capitaine Piratouille qui avait les pétouilles » par Maïsha

Piratouille se sent beaucoup mieux. Il n’avait jamais eu l’occasion de s’ouvrir à qui que ce soit de sa souffrance; pouvoir en parler avec une personne aussi bienveillante que toi lui a fait le plus grand bien. C’est pour cela qu’il t’a fait chercher jusque chez toi ; il avait entendu parler d’une enfant très sage, qui était capable d’aider quiconque en avait besoin. Lorsque tu lui demandes pourquoi il gardait tout cela pour lui avant de te rencontrer, il te fait une réponse bien triste : « Avouer à tout le monde que je n’aime pas piller ? Que j’en ai peur ? Te rends-tu compte de ce que cela m’aurait valu ? Tous se seraient moqués de moi, je serais devenu « Piratouille qui la trouille, on m’aurait rejeté ! Maintenant tout va changer ! ». Piratouille t’annonce qu’il vient de prendre la plus grande décision de son existence. Il va voyager à travers le monde et réaliser son rêve : devenir pêcheur de sardines. Il décide d’affronter le regard de ses hommes et, dans un petit discours, de leur faire part de son projet.

Rédige ce discours.

« Chers pirates, je vous annonce que j’ai toujours détesté être pirate, je déteste piller, je déteste faire peur et si mes cris sont si forts, c’est juste parce que j’ai peur. Voilà, vous savez tout, moquez-vous de moi, mais je n’entendrai pas car je serai déjà parti. Merci de votre attention et de votre compréhension. »

Quel discours aurais-tu écris à sa place ? Tu peux nous le dire dans « Le capitaine Piratouille qui avait les pétouilles »

Le chapitre 1 de « Le monde invisible » par Ketsia

Un matin, alors que tu prends ton petit déjeuner à ta place habituelle, tu découvres une enveloppe dorée, posée contre ta tasse de chocolat chaud. Interloqué et encore très mal réveillé, tu détailles de tes yeux embrumés cet étrange courrier qui te semble destiné. Il s’agit là d’une très belle enveloppe, fabriquée dans un papier lourd et épais, et marquée d’une mystérieuse gravure qui semble dorée à l’or fin. Poussé par la curiosité, et puisque personne n’est là pour te renseigner, tu te décides à la décacheter. Tu en extrais une invitation dont le texte est imprimé sur un très beau papier tissé. Soulagé, tu constates qu’elle t’est nommément adressée. Il semble que tu sois invité par le Roi et la Reine d’un royaume dont tu n’as même jamais entendu parler. On te prie en effet, de bien vouloir prendre part au Bal annuel donné par ses Majestés, et l’on prend soin de te préciser que tu devras t’y présenter paré de tes plus beaux atours. Et tu n’es pas au bout de tes surprises ! Voici que le verso de la lettre t’informe que tu siégeras, à cette occasion, au Conseil des Grands Sages. Stupéfait, tu ne sais d’abord que penser et les questions se bousculent dans ta tête : comment cette lettre est-elle arrivée sur la table de la cuisine ? Qui sont ces mystérieux mais généreux souverains ? Où peut bien se trouver leur royaume, et pourquoi voudraient-il te voir siéger à un Conseil, quel qu’il soit ? Voilà qu’un mauvais pressentiment t’étreint : tes parents ne voudront jamais te laisser te rendre seul à une fête de cette envergure, et il semble clair qu’ils n’y sont pas conviés. Et même si le principe ne les rebutait pas, il faudrait encore qu’ils acceptent, de même que la maîtresse, que tu manques l’école le temps de faire ce voyage… Hors de question, impossible, te dis-tu ! À moins peut-être, que tu ne saches plaider ta cause ! Voyons voir. Après tout, te laisser entreprendre un tel voyage serait un excellent moyen de te responsabiliser, n’est-ce pas ? Voilà qui ferait plaisir à Maman…Et puis Papa ne disait-il pas aussi à table, que l’autonomie, c’était fondamental ? Eux, sauraient convaincre la maîtresse… à condition que toi, tu aies su les convaincre d’abord !

Explique à tes parents cette incroyable situation. N’oublie pas de leur expliquer que tu comptes relever ce défi.

Je me dirigeais, en prenant mon courage à deux mains évidemment, vers mes parents qui sont encore en train de prendre le petit déjeuner en leur disant : « Papa ! Maman ! J’ai reçue une lettre qui me dit d’aller dans un royaume inconnu. Ils m’ont donné leur adresse pour que j’y aille (mensonge). Puis-je y aller s’il vous plaît ? Imaginez-vous votre enfant part en aventure c’est incroyable non ? S’il vous plait je vous promets de rattraper le retard que j’aurai. »
Et, à la fin de mon discours, je sors mon arme secrète, les yeux du chat malheureux.

Ça marche à tous les coups ! Et vous, comment auriez-vous fait dans « Le monde invisible » ?

Le Chapitre 6 de « Le sortilège de Barnabé » par Ketsia

Tu arrives enfin face au terrible magicien Barnabé qui détruit la forêt. Il brandit aussitôt sa baguette magique pour te lancer un sort ; dans un éclair bleu transparent, des étincelles en jaillissent et tu te crois perdue car tu n’as absolument rien pour t’en protéger. Il te faudrait un bouclier de cristal mais… mais, que se passe-t-il ? Au moment même où tu as pensé à ce bouclier, il est apparu à ton bras ! Tu te souviens alors que dans ce monde enchanté, tout est question d’imagination et que c’est ce que redoute le plus le maléfique Barnabé ! Tu tiens la solution pour le vaincre…

Écris ton combat face à lui.

J’imagine que Barnabé se fais écrasé par une chaussure, projeter dans une piscine à balles super profonde et après, dès qu’il se relève, une cage tombe sur lui et je lui attrape son sceptre.

Une bonne chose de faite ! Dis-nous comment tu aurais fait dans « Le sortilège de Barnabé » !

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