Plume en classe

Les Plumitzers de mars

Retrouvez dans cet article les meilleurs écrits de nos petites plumes : nous leur attribuons le titre de… Plumitzer. Bravo à elles !

Retrouvez les Plumitzers du mois dernier !

Le sixième chapitre de « La course intergalactique » par Antoine

Un être vivant ressemblant à un homme à trois yeux conduisant, ce qui ressemble à un vaisseau spatial, avec des ailes blanches, l'intérieur rouge et les moteurs bleus.

Tu es maintenant deuxième. La course achève également son deuxième tour. Le suspens est à son comble. Les spectateurs sont debout dans les gradins, ils hurlent et gesticulent en agitant le drapeau de leur équipe. « Une ambiance du tonnerre et un stress incroyable » commente même la voix dans le haut-parleur.

Soudain, le ciel s’assombrit, l’atmosphère change. L’air est comme chargé d’électricité et devient difficile à respirer. Les rayons du soleil ne parviennent plus à percer une couverture de nuage à l’allure surnaturelle. La nuit la plus sombre de tous les temps tombe sur la course tandis qu’un vaisseau noir et terrifiant se joint aux concurrents et se met à ton niveau.

Tu entends l’ours murmurer dans ton casque : « c’est le concurrent du monde maléfique. Il gagne à chaque fois car il triche. Il est tellement méchant qu’il fait peur à tout le monde. On lui a envoyé tous les pièges possibles et rien n’y fait. Sa méchanceté le protège de tout. Nous sommes perdus, abandonne ! Déclare forfait ! ». Abandonner ? Après tous les efforts que tu as consentis ? Jamais ! Tu as soudain une idée : s’il est si méchant, seule la gentillesse peut le terrasser.

Prends ton haut-parleur et dis au concurrent du monde maléfique quelque chose de gentil.

« Bonjour monsieur le concurrent maléfique, je suis sûr que vous êtes quelqu’un de très très gentil au fond de vous. Le personnage maléfique répond méchamment :
– Occupe-toi de tes affaires.
– Mon bon monsieur, sachez que la méchanceté ne résout rien. Pourquoi n’essayez-vous donc pas d’être gentil, pour une fois ? Peut-être que vous serez apprécié de tous ? Je suis sûr que vous vous ferez des amis.


Un Marshmallow se trouve sous ce coeur de pierre et de glace. »
Le maléfique personnage se transforma en un petit ange et me laissa la place.
L’ours n’en revenait pas et me demanda comment j’avais réussi.
Je lui dis que j’avais foi en lui.

Si toi aussi tu veux gagner cette super course, rendez-vous dans « La course intergalactique« .

Le quatrième chapitre de « L’attaque des singes » par Chiara

Maintenant que tu es muni d’une carte, tu es prêt à partir à l’aventure. « Traducteur de langue singe, me voilà ! » t’écries-tu une fois dans la rue. Un enthousiasme qui fait long feu : après moins de deux heures de marche tu te retrouves perdu, et le pire, c’est que tu es perdu dans une forêt qui ne figure même pas sur la carte !

Pour la première fois depuis le début de cette aventure étrange, tu te sens seul et triste. Mais tu n’es pas seul ! Une grosse voix caverneuse s’élève de l’arbre contre lequel tu t’es adossé : « Ah ah, le petit ingénu que voilà ! Ne sais-tu pas, enfant, que dans notre monde, les forêts se déplacent pendant la nuit ? Aimerais-tu rester toujours planté au même endroit, toi ? Non, bien évidemment. Sache que nous non plus ! C’est pourquoi nous nous promenons ».

D’abord en colère, tu songes que cet arbre pourrait t’aider à t’en sortir s’il acceptait de te laisser grimper sur sa branche la plus haute afin que ton regard puisse embrasser l’horizon. Tu retrouverais alors ton chemin.

À toi de jouer ! Écris une chanson pour adoucir l’arbre grincheux.

« Ô majestueux arbre, c’est pour toi que j’ai écrit cette chanson :
Quand le vent souffle, tes branches se soulèvent et toi tu ne bouges pas;
Tu es bien trop fort pour te laisser faire par un petit vent,
Et dès que le soleil se lève, tes feuilles brillent d’un doré étincelant…
Quand le soleil se couche, tu brilles de mille feux et des éclats de lumière sortent de ton tronc. »
J’espère que cette chanson t’a fait du bien et que maintenant tu veux bien me laisser monter.
L’arbre le laissa monter… »

Toi aussi invente une chanson pour l’arbre grincheux, « ici« .

Le chapitre deux de « Le sortilège de Barnabé » par Alyssia

Te voilà déguisé de façon à passer inaperçu dans la forêt enchantée. Les animaux t’expliquent que toutes les plantes, fleurs et arbres de la forêt sont en train de dépérir, et que les battements du cœur de la forêt eux-mêmes ralentissent. La vitalité de ce coeur est d’ordinaire nourrie par l’imagination et les rêves des enfants, mais le magicien a lancé un sortilège qu’il te faut briser à tout prix ! Tu décides qu’il te faut de l’aide, mais dans la panique, tu ne sais vraiment pas à qui t’adresser. Maman ? Papa ? Non, ils ne comprendraient pas. Soudain, c’est l’illumination : c’est le meilleur ami des enfants que tu dois appeler, celui qui les comprend le mieux, le Père-Noël !

Écris-lui une lettre pour qu’il vienne à ta rescousse.

« Bonjour chère Père-Noël,
Je t’écris aujourd’hui pour te dire qu’il y a un gros souci dans la forêt, le magicien a lancé un sortilège; du coup toutes les plantes, les fleurs et les arbres de la forêt sont en train de dépérir et les battements du cœur de la forêt eux-mêmes ralentissent. Donc, j’aimerais que tu viennes pour lui dire d’arrêter. S’il ne veut pas, tu le mettras sur la liste des très très vilains donc il n’aura plus de cadeaux à noël . Et s’il dit qu’il s’en fiche, tu le combattras et tu le mettras en prison. »

A toi de jouer maintenant, et écris au père-Noël pour qu’il vienne à ta rescousse, dans « Le sortilège de Barnabé« .

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