Plume en classe

Plumitzers de novembre

Chapitre 5 de « Le sortilège de Barnabé » par Héloïse

C’est un temple sinistre qui se dresse devant vous. Des créatures vêtues de noir en gardent l’entrée. Il semble impossible de s’y aventurer sans devoir d’abord les affronter. Tu es terrifiée et la licorne te paraît tout aussi inquiète. Il est évident que vous n’y arriverez pas seuls, vous avez besoin de soutien. Peut-être qu’une diversion vous permettrait de vous faufiler discrètement à travers les remparts… C’est alors que la licorne, qui peut lire dans tes pensées, lance un cri magique à tous les animaux de la forêt qui aussitôt vous rejoignent. Dans les airs, dans les arbres, entre les fourrés, sortant des terriers et des marais, c’est une véritable armée qui vient se battre à vos côtés. Le courage te revient, tu sais qu’ensemble, vous pouvez y arriver !

Échafaude un plan d’attaque pour que tu puisses arriver jusqu’au magicien qui se trouve en haut de la plus haute tour de son temple magique.

« Voici ce que nous allons faire : vous, les oiseaux, vous allez chanter très fort de façon à détourner l’attention des gardes. Pendant ce temps, nous allons boire une potion d’invisibilité pour rentrer dans le château sans être vus et monter jusqu’à la plus haute tour. »

À toi de jouer, quel est ton plan pour arriver jusqu’au magicien ? C’est ici !

Chapitre 1 de « La fée des Étangs » par Lola

Tu ouvres les yeux et une minuscule jeune-fille au visage aimable, à la peau diaphane et aux joues d’un rose délicat te regarde en souriant. Avant que tu n’aies eu le temps de dire un mot, la merveilleuse créature t’explique qu’elle est une fée, la Fée des Étangs, et qu’elle se demande qui tu es, et surtout pourquoi tu dors en plein milieu de son lac. Tu t’apprêtes à lui dire qu’elle se trompe quand tu t’aperçois, en effet, et avec la plus grande surprise, que tu es allongée sur une sorte de nénuphar géant, perdu au beau milieu d’une vaste étendue d’eau d’un vert chatoyant.

Explique à la fée des Étangs pour quelles raisons, selon toi, tu te trouves ici.

« Je suis allée au bord de l’étang, puis je me suis allongée sur un nénuphar. Je me suis endormie, j’ai fait un drôle de rêve : un méchant crapaud criait : « Qu’on détruise l’étang ! Qu’on prenne tout ! » Une petite fille avec les cheveux et les yeux violets, une petite robe jaune et bleue, des ailes blanches et une couronne dans les cheveux est arrivée pour m’expliquer que le méchant crapaud était déjà venu ici. Il avait détruit toutes les fleurs et les nénuphars qui se trouvaient sur la belle eau verte de l’étang. Ensuite, il avait capturé Marvin, le Prince de l’étang, son ami le plus fidèle. La petite fille m’a demandé si je pouvais l’aider à le sauver.

Là, j’ouvre les yeux, je suis toujours allongée sur ce grand nénuphar, tu es devant moi et tu me dis que tu es une fée ! Mais je rêve encore !

Si tout cela est vrai, je suis ici pour t’aider à sauver l’étang et son Prince ! »

Et toi, comment t’es-tu retrouvé sur cet étang ? Juste ici !

Chapitre 3 de « L’attaque des singes » par Ines

Ragaillardi par une bonne nuit de sommeil, tu remercies l’aubergiste avant de te mettre en quête de la boutique dont tu as entendu parler, celle où tu pourrais te procurer une carte de l’île. Après quelques minutes de marche, tu aperçois la façade d’une échoppe qui n’a rien de rassurant. Sur ta gauche tout près de la porte d’entrée, de grosses grenouilles te fixent de leurs yeux globuleux. Sur ta droite, un fatras de casseroles cabossées, d’assiettes ébréchées, de verres à pieds qui n’ont plus de pieds et une couronne, trônent dans une caisse sur laquelle tu peux lire : « bonnes affaires du mois, à saisir ! ». Peu rassuré, tu décides d’entrer en évitant soigneusement de regarder les grenouilles. À peine as-tu franchi la porte qu’un sifflement strident t’impose de boucher tes oreilles immédiatement. Un vieil homme fumant la pipe et portant un bonnet, bondit alors aussitôt devant toi : « Je suis désolé, il faut que je règle cette alarme mais elle a le mérite de faire fuir les singes. » Encore étourdi, tu te dis que tu tiens l’argument qu’il te fallait pour obtenir une carte de l’île gratuitement.

Explique au vieil homme que s’il te prête une carte de l’île, tu seras en mesure de lui venir en aide.

« Bonjour monsieur, avez-vous une carte de l’île ? demandé-je d’un air peu rassuré.

– Bonjour. Oui, j’ai une carte de l’île, c’est évident, dit-il d’une voix enrouée, et puis, pourquoi aurais-tu besoin de cette carte ?

– Et bien, je pourrais vous aider à avoir plus de clients et à vous débarrasser de ces singes.

– Alors, c’est toi Ross. Eh bien, je ne suis pas contre.

– Je vais d’abord vous débarrasser de ces singes, ensuite, je vous aiderai avec votre marché. »

Après avoir reçu la carte, nous partons jusqu’au ‘gouffre sans fin’ et nous campons.

Comment aurais-tu fais pour convaincre le vieil homme de te prêter sa carte ? Dis-le nous juste ici !

Vous pouvez également retrouver les Plumitzers du mois dernier !

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