Témoignages Plume

Témoignage de Camille, professeure des écoles en cycle 2 et ambassadrice Plume

Camille, une enseignante passionnée et ambassadrice, partage son expérience sur Plume, qu’elle utilise en cycle 2.

Qui est Camille ?

Prénom : Camille
Lieu : Seine-Maritime
Classe : CP-CE1-CE2 (5/7/5) 
Équipement : 5 tablettes
Enseigne depuis : 2020
Particularités/loisirs : grande amatrice de loisirs créatifs (bricolage, couture, Canva)
Utilise Plume depuis : 2020

« Quand je n’enseigne pas, je ne peux pas dire que je dors car je rêve de l’école… même en vacances ! »

La rencontre avec Plume

Camille découvre Plume au KED en 2020. Après avoir assisté à une présentation, elle a l’occasion d’échanger avec l’équipe Plume sur leur stand. Si le logo et les couleurs l’ont rapidement séduite, elle apprécie également l’interface, qu’elle trouve attrayante. En intégrant le programme ambassadeur, Camille a la chance de pouvoir utiliser Plume gratuitement et elle n’est pas déçue : « Aujourd’hui, je paierais les yeux fermés car je suis convaincue », nous confie-t-elle.

Plume en classe 

Camille souhaite utiliser Plume avec sa classe de cycle 2. Elle met donc à profit le temps des vacances pour créer son compte et sa classe. En définissant un élève test, elle explore tous les méandres de l’interface élève.

À la rentrée, les élèves de CE2 font d’abord leurs premiers pas sur Plume. Chacun choisit dans la bibliothèque l’histoire qu’il veut écrire et progresse directement sur l’application. Pour ses élèves, Plume est un coup de foudre, ils adorent et en redemandent, mais ce fonctionnement initial ne permet pas aux élèves de d’acquérir les compétences que Camille vise, alors elle prend un temps pour adapter le dispositif.

En novembre, Camille tente une nouvelle approche. Cette fois, les élèves de CE1 et CE2 se lancent. Ils ont le choix parmi deux histoires seulement et le groupe en sélectionne une. Tous les lundis matin, Camille lit le début du chapitre et la consigne. Ensuite, les élèves partagent leurs idées, construisent un mur de mots à partir de ces dernières. En suivant un planning, les élèves utilisent une des tablettes pour relire et/ou écouter de nouveau le début du chapitre et la consigne. Ils écrivent ensuite leur premier jet sur une feuille.
Le soir, à l’aide d’un surligneur, Camille met en valeur les mots bien orthographiés. Elle corrige les éléments qui ne sont pas à la portée des élèves et demande la correction des éléments accessibles en faisant appel à des outils que les élèves maîtrisent (dictionnaire, référentiels de mots et autres outils de la classe). Une fois le travail de révision réalisé, les élèves copient ensuite leur texte sur Plume et peuvent même écouter ce qu’ils ont produit. Camille souligne que ses élèves apprécient beaucoup cette étape, car elle leur permet de se rendre compte si leur production est, oui ou non, compréhensible. Ce fonctionnement permet à Camille de faire avancer ses élèves dans des projets d’écriture à une vitesse qui convient à tous. Après la rédaction d’un chapitre par semaine, il ne lui reste plus qu’une ultime correction finale pour Camille.
Enfin, lorsque la totalité d’une production est validée, Camille imprime l’histoire et les élèves obtiennent le livre qu’ils ont coécrit, valorisant ainsi le travail fourni. Grâce aux projets d’écriture Plume, les élèves sont auteurs de leurs propres histoires.

Afin de prolonger l’expérience Plume, Camille propose le rituel du mot du jour à ses élèves de CE2. Tous les matins, ils découvrent et partagent un nouveau mot. Lorsque celui-ci est difficile, ils le cherchent dans le dictionnaire, puis l’expliquent aux plus jeunes. Les mots sont consignés sur des référentiels et participent à l’enrichissement du bagage lexical de tous les élèves de la classe.

Enfin, elle introduit dans les plans de travail un temps d’activité autonome sur le dojo de Plume. Cet espace propose des tatamis liés aux histoires écrites. Ils sont l’occasion de réinvestir le lexique, de manipuler les éléments syntaxiques et d’améliorer les compétences orthographiques des élèves à travers des activités courtes. Celles-ci sont perçues comme des jeux par les élèves, mais n’en restent pas moins des activités de renforcement. Chaque activité est construite dans l’objectif de mettre l’élève en situation de réussite, c’est pourquoi le dojo est l’un des espaces préférés des élèves.

Les apports de Plume

Camille explique qu’avant Plume, les élèves produisaient des écrits courts peu motivants. Depuis qu’elle utilise Plume dans sa classe, les élèves éprouvent beaucoup de fierté, car ils écrivent des histoires complètes. Ce sentiment d’accomplissement et de réussite d’une tâche complexe est un atout majeur dans les séances de production d’écrits de Camille. Ses élèves progressent, car ils sont acteurs d’un projet motivant qui fait sens pour eux.

L’outil tablette et l’obtention d’un livre dont ils sont auteur sont également des sources de motivation non négligeables.

Les outils numériques permettent un niveau de différenciation fort appréciable. La possibilité de passer toute l’application Plume en police OpenDyslexic améliore l’ergonomie des textes. La possibilité d’écouter les textes favorise l’accès à la lecture des enfants les plus fragiles. La règle de lecture offre un cadre rassurant pour la relecture d’un texte pour les élèves présentant des troubles de l’attention. La traduction dans un vaste répertoire de langue permet aux élèves allophones de participer aux projets d’écriture. Ce sont autant d’outils que Camille utilise au quotidien pour offrir à ses élèves des séances d’apprentissage de l’écrit stimulantes.

Pour Camille, Plume représente enfin un gain de temps inestimable. Tous les supports sont prêts et bien construits. Ils sont adaptés aux besoins de ses élèves et répondent à des objectifs d’apprentissage clairs. Les histoires sont diversifiées et permettent de renouveler l’intérêt des élèves à chaque projet d’écriture.

Les conseils de Camille

Voici les deux conseils de Camille, qui utilise Plume avec sa classe de cycle 2 :

  1. Bien prendre en main l’interface, les différentes activités et les nombreuses fonctionnalités. Il serait dommage de passer à côté des éditables par exemple.
  2. Au début, bien accompagner les élèves à chaque étape pour pouvoir ensuite les laisser en autonomie. Prendre son temps jusqu’à ce qu’ils maîtrisent les étapes et les outils.

Pour aller plus loin, retrouvez les témoignages de nos ambassadeurs Stéphanie (classe de CE1-CE2), Pierre (classe de CE1), Jean-Pierre (classe de CM1-CM2) et Céline (classe de CE2 à l’étranger) pour découvrir comment ils utilisent Plume, en cycle 2 ou 3. Retrouvez également le projet pédagogique de Plume et 5 raisons d’utiliser Plume pour enseigner la production d’écrit.

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